Boukhalfa, NesirineFeligha, Roumaissa WissemSassene, DalelSayad, Amira RayaneBouhayene, Salah2024-05-122024-05-122023http://dspace.univ-skikda.dz:4000/handle/123456789/1668L’Algérie a vécu plus d’une décennie la sécheresse, les ressources conventionnelles en eau étaient insuffisants pour subvenir aux besoins de la population, ce qui a incité les autorités algériennes à chercher d’autres ressources pour garantir l’alimentation en eau potable de cette population. La solution la plus adaptée et qui ne dépend pas des aléas climatiques, était le dessalement d’eau de mer. Le dessalement de l’eau de mer en Algérie revêt un caractère stratégique : il remplacera les ressources naturelles dans la majorité des villes du nord algérien. Quel que soit le procédé utilisé, toutes les stations de dessalement produisent d’importantes quantités de saumure. Les statistiques parlent de centaines de milliers de tonnes de saumure qui sont rejetées quotidiennement dans la mer depuis des stations de dessalement. Les techniques de dessalement et comme le thermo-compresseur distillé (TCD), peuvent présenter un risque environnemental : les rejets de saumure, d’eau chaude, de produits chimiques ne doivent pas contaminer l’écosystème. Le plus urgent est la gestion de ces impacts vu les montants d’investissements pour ces projets. Les stations de dessalement doivent désormais inclure les couts des traitements de ces rejets en amont. MotsfrEtude d'impact des rejets de traitement de la station de dessalement de CP/2K – SKIKDAProtection des écosystèmesMémoire de Master