Browsing by Author "Larbi, Djamila"
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Item Constat sur l'états Sanitaire des jeunes et vieilles plantations D'agrumes dans la région d'El-Hadaike- Skikda(Faculté des Sciences, 2024) Aouati, Chaima; Aouati, Souheila; Lakhal, Oussama; Sayoud, Amel; Larbi, DjamilaNotre étude à été basé sue les observation visuelles de symptômes sur quelques vergers d’agrume de l’université de Skikda situés à EL-HadaikItem Enquête sur les symptômes associés au CTV (citrus tristeza virus) dans les nouvelles plantations en relation avec les portes greffes utilisés.(Faculté de sciences, 2022) Boukandoura, Fatima Zohra; Bouhafer, Nesrine; Boukarine, Amani; Larbi, DjamilaLes maladies des agrumes sont nombreuses et sont en général mal connues, mais plusieurs maladies transmissibles par greffage ont été observés dans les vergers agrumicoles Algérie et décrites par Bové 1995. Parmi ces maladies, la tristeza maladie virale de quarantaine redoutable sur les agrumes, eu début vers les années 50 du siècle précédent, elle n’avait jamais constitué un problème pour l’agrumiculture algérienne, la souche virale atténuée, les variétés touchées par le virus étaient généralement très peu commercialisables et donc peu diffuse, à tout cela s’ajoute les hautes températures qui jouent le facteur de thermothérapie inhibant la réplication virale,, et bien sûr le contrôle et l’élimination par incinération des plants malades, détectés à l’époque , ces facteurs sont peut-être contribué à la non dissémination de cette maladie en Algérie. Récemment, au début des années 2000, des foyers d’infection par le CTV ont été détectés dans la zone de la Mitidja sur des exploitations privées et étatiques, mais aussitôt éliminées par incinération, des mesures de quarantaine ont été prises par l’INPV, CNCC et l’ITAFV, pour éviter la dissémination de la maladie. Mais les conditions du milieu sont en faveur de la dissémination de la maladie, la présence de vecteurs pucerons, le bigaradier sur les vieilles plantations, le manque d’entretiens et surtout le manque de contrôle sur la totalité des agrumes en Algérie, ont contribué à la réapparition de cette maladie. En 2019 et selon des travaux de recherches, et ce dans le cadre de préparation de thèse de Master ou doctorat au niveau de l’Université de Chlef, des cas positifs au CTV ont été repérés sur des vergers privés, dans ce cas des souches exotiques sévères ont été détectés. La souche sévère n’a jamais été décrite en Algérie, probablement, c’est l’introduction du Toxopteracitricida dans la zone méditerranéenne qui a favorisé l’introduiction des souches sévères dans notre pays. C’est dans cette perspective que nous avions comme objectif de tester par analyse au laboratoire en utilisant la technique sérologique DTBIA, des échantillons suspects, malheureusement, notre produit (Kit de détection du CTV) n’a pas été réceptionné jusqu’à présent (démarches administratives). Mais nous avons quand même poursuivi notre problématique basée sur des visites de prospection sur plusieurs vergers agrumicoles (université et privé). La démarche scientifique est basée sur les observations visuelles et leur comparaison avec les descriptions des symptômes de la maladie recherchée. Tous les symptômes ne sont pas spécifiques, cependant un symptôme foudroyant qui rappelle la tristeza a été observé sur presque tous les 4 vergers Conclusion 81 de l’Université. Il s’agit de desséchement parfois sur une seule branche ou la moitié de l’arbre et parfois c’est tout l’arbre qui est desséché. Certes, le diagnostic sur terrain peut donner une idée sur la maladie surtout en présence de pucerons et le bigaradier qui constitue une association très sensible au CTV, mais sel la détections au laboratoire peut confirmer notre constat. Le desséchement est très clair sur la majorité des arbres, qui se portaient tés bien il y a quelques années delà, Cela ne peut-être traduit que par une contamination entre les arbres via les pucerons. Beaucoup d’autres problèmes liés à l’état sanitaire ont été observés et peuvent renseigner sur pas mal d’anomalies liées soit à des maladies ou à des ravageurs. Tels que les enroulements, les chloroses, les boursouflures, la crispation le desséchement des feuilles. Les arbres en général, affichent un complexe de symptômes qui peuvent être liés à plusieurs pathogènes. La tristeza demeure le danger redoutable sur les agrumes, et la région de l’Est de l’Algérie a toujours était considérée (Free CTV), mais qui prouve cela avec les nouvelles données d’introduction de souches sévères et la présence du bigaradier et la panoplie de vecteurs pucerons. Seul un bon diagnostic et une analyse au laboratoire peuvent confirmer ou infirmer cela. L’année prochaine si le produit sera réceptionné, les futurs étudiants Master2, pourront faire un des Monitorage et des diagnostics suivi d’analyses au laboratoire pour la détection du CTV en utilisant la technique sérologique DTBIA utilisée dans la détection massale du virus de la tristeza.Item Etude des maladies transmissibles par greffage des agrumes dans la wilaya de skikda(Faculté des Sciences, 2023) Lekhal, abd el hakim; Bouznade, Firdws; Boukeloua, Yasmine; Fengoure, Ghada; Larbi, DjamilaL étude de l’état sanitaire des vergers basé sur des observations visuelles sur bon nombre de vergers agrumicoles sur jeunes et veilles plantations toutes variétés confondues ,révèlent un constat en faveur de présence de plusieurs maladies et concernant le desséchement des arbres observé ces derniers années et qui a gagné plusieurs arbres au niveau d’autres vergers dans la périphérie de l’Université, ce phénomène reste sans explication car nécessitant une identification au laboratoire par les techniques sérologiques (DTBIA, ELISA) car la contamination observée au niveau de tous les vergers s’explique par la présence d’un vecteur responsable de cette disséminationItem "Etude du plaqueminier (cas de multiplication par marcottage aérien du plaqueminier) dans les jardins de l’université."(Faculté de sciences, 2022) Bousnane, Samah; Djeghader, Khaoula; Larbi, DjamilaL’ex Ecole d’agriculture de Skikda est caractérisée par plusieurs zones pourvues de végétations différentes. Nous pensons qu’il existe des microclimats au niveau de ces zones et ce à travers les plantations des différentes espèces tropicales L’ancienne école d’agriculture dispose d’un patrimoine végétal d’une valeur inestimable comprenant plusieurs collections végétales constituant un pôle très important en arboriculture fruitière et en viticulture. De nombreuses espèces exotiques sont plantées en bordure des allées et au niveau des jardins soit en masse ou en isolé. Certaines constituent des collections qui ne sont pas encore identifiées telles que le Feijoa, le plaqueminier, le cerisier de Cayenne et l’avocatier. À partir de l’année 2013 on constate une réduction importante de la surface agricole utile de moins de 57 ha 24a soit 23,30% par rapport à la surface totale. Notons que la surface agricole utile était de 100 ha 11a 51ca (40,62% /S.T) et chute à 43 ha 17a (17,51% / S.T) (Chalabi,2016).La sauvegarde de ces espèces a été initié par les travaux de Monsieur Chalabi ex cadre de l’école nationale d’agriculture. En effet, certains résultats ont été obtenus pour la multiplication en vue de sauvegarde tels que pour l’espèce goyavier. Malheureusement, la disparition touche toujours ce patrimoibe inestimable, C’est dans cette perspective que nous avons travaillé en vu de trouver la meilleure méthode de sauver d’abord des sujets de cette espèce déjà présents dans les jardins de notre Université et de pouvoir les multiplier par la suite pour l’obtention d’un bon nombre de plants. Les essais que nous avons mené étaient trop limités en matière moyens matériels, mais nous avons travaillé pour avoir des résultats. Après avoir affecté différentes méthodes de multiplication, à savoir le greffage, le bouturage te la marcottage aérien , des premiers résultats ont été obtenus par greffage et bouturage, par contre le marcottage aérien n’a pas réussi. Les essais sur cette espèce doivent être reconduits avec d’autres conditions plus propices. Car la sauvegarde de ces espèces est un objectif tracé parmi d’autres dans le cadre de la recherche scientifique menée par le laboratoire LOPAAZ sous la Direction du Dr.A.Foufou .Item Evaluation sur la présence du CTV (Citrus tristeza virus) au niveau des pépinières agrumicoles.(Faculté des Sciences, 2022) Louabid, Djalel; Larbi, DjamilaEvaluation sur la présence du CTV (citrus tristeza virus) au niveau des pépinières agrumicoles. Vu l’importance de la filière des agrumes dans le développement de l’économie du pays ,mon étude s’est penchée sur l’état de quelques pépinières dans la wilaya de Skikda .Mais avant cela ,j’ai fait un tour dans le monde des agrumes où j’ai cité leur historique et leurs origines ainsi que les grands pays producteurs ,sans oublier de vous apprendre que pendant la période coloniale et les premières années de l’indépendance l’Algérie était parmi les pays exportateurs mais avec l’essor démographiques et le délaissement total on est devenu un pays consommateur. Mon travail comporte aussi les différentes variétés d’agrumes cultivées dans le monde ,en Algérie et à Skikda sans oublier de vous informer des maladies qui touchent cette filière et qui ont un impact sur le rendement des agrumes et spécialement le CTV ( Citrus tristeza virus )et dans ce but là que pour combattre cette maladie j’ai visité trois pépinières dans la wilaya de Skikda où j’ai constaté le manque de moyens et de matériel pour combattre cette maladie cependant ces agricultures persistent toujours pour mettre en avant la culture des agrumes.Item la multiplication de lavocatier sur différentes substars au niveau d'universitaire de Skikda(Faculté des Sciences, 2024) Eulmi Nacereddine, Sana; Sassane, Besma; Trad, Aya; Larbi, DjamilaLes fruits exotiques ont toujours constitué une filière très prometteuse pour le secteur de l’arboriculture fruitière en Algérie surtout ces dernières années. Dans cette perspective, l’Université de Skikda représente et constitue un témoin sur l’épanouissement de plusieurs espèces exotiques introduites pendant la période .En effet, certaines espèces ont été perdues et d’autres sont en voie de sauvegarde telles que l’avocatier, le goyavier, le litchi, Le cerisier de Cayenne etc. Des axes de recherches sont en cours pour apporter un plus à cette filière afin de vulgariser la culture de ces espèces dans des étages bioclimatiques favorable à l’image de la bande du littoral algérien caractérisé par son climat clément tout au long de l’année. Un essai de multiplication de l’avocatier par greffage a été initié avec un matériel végétal propre à l’Université de Skikda. Les premiers résultats de germination des semences d’avocatier dans différents substrats ont révélé un bon taux de germination observé avec la Tourbe par rapport aux deux autres substrats utilisés. La hauteur de la tige et la croissance des feuilles ont été les paramètres de mesure pris en compte durant l’observation de la germination. L’opération de greffage se déroulera assez tard (mois Sep. Oct.) en raison de la non maturation des bourgeons pour greffage en cette période. La greffe en fente ou en écusson nécessite une maturation du greffon.Item La multiplication de l’avocatier persea americana au niveau des jardins de l’Université de Skikda(Faculté des sciences , 2023) Fattoum , Katar Nada; Larbi, DjamilaL’Université de Skikda représente et constitue un témoin sur l’épanouissement de plusieurs espèces exotiques introduites pendant la période coloniale au début du siècle dernier au niveau des jardins botanique de l’Université. En effet, certaines espèces ont été perdues et d’autres sont en voie de sauvegarde telles que l’avocatier, le goyavier, le litchi, Le cerisier de Cayenne etc. Des axes de recherches sont en cours pour apporter un plus à cette filière afin de vulgariser la culture de ces espèces dans des étages bioclimatiques favorable à l’image de la bande du littoral algérien caractérisé par son climat clément tout au long de l’année. Notre essai s’inscrit dans cette perspective. Notre essai a été réalisé avec des conditions très limitées de matériel végétal et de moyens matériels utilisés. L’unique arbre avocatier a servi de récolte de bouture pour la portion greffon et le porte greffe a été mis à notre disposition par la pépinière horticole, le greffage en fente que nous avons effectué n’a pas réussi pour des raisons multiples.Item L’étude de l’avocatier et la possibilité de sa culture en Algérie(Faculté des Sciences, 2022) Tlilani, Norane; Farah, Rayane; Ghedira mezded, Ines; Larbi, DjamilaL’ancienne école d’agriculture dispose d’un patrimoine végétal d’une valeur inestimable comprenant plusieurs collections végétales constituant un pôle très important en arboriculture fruitière et en fruits tropicaux. De nombreuses espèces tropicales (exotiques) sont plantées en bordure des allées et au niveau des jardins soit en masse ou en isolé. Certaines constituent des collections qui ne sont pas encore identifiées telles que le Feijoa, le plaqueminier, le cerisier de Cayenne et l’avocatier. En effet, certains résultats ont été obtenus pour la multiplication en vue de sauvegarde tels que pour l’espèce goyavier et l’avocatier. Notre étude menée sur la multiplication de l’avocatier au niveau des jardins de l’Université a porté sur différentes techniques de multiplication à savoir le bouturage, le greffage et le marcottage aérien. Le greffage n’a pas aboutit , le marcottage aérien a réussit et en cours pour sevrage des plants obtenus au nombre de (…..).Enfin , le bouturage (nombre de boutures) a également réussi et on compte greffer ces boutures ultérieurement. Seulement, il faut rappeler que nous avons travaillé avec peu de moyens et des conditions minimes .Toutes ces espèces exotiques sont aptes à la multiplication , chacune son type de multiplication, et donnent de bons résultats selon les travaux précédents effectués par Monsieur Chalabi et dont beaucoup d’espèces ont été sauvegardées telles que l’avocatier , le goyavier etc. Nous recommandons de reconduire ces essais avec cette espèce et d’autres espèces selon les objectifs de la sauvegarde du patrimoine ressources génétique de notre Université, dans de bonnes conditions de travail et en réunissant tous les ingrédients afin d’obtenir des résultats qui permettent d’aller plus loin dans la possibilité de multiplier à grand échelle l’avocatier ce fruit miraculeux.Item Monitorage du CTV (Citrus tristeza virus) dans la wilaya de SKIKDA(Faculté de sciences, 2022) Damèche, Dalia; Boulkertous, Soumia; Debbah, Souad; Larbi, DjamilaLes agrumes constituent une culture stratégique économiquement importante, cependant l’état sanitaire en général reste très peu connu et maitrisé. Nombreuses sont les affections virales, bactériennes, cryptogamiques et de type virus similaires connues sur les agrumes en Algérie et rapportées par Bové (1995), mais la tristeza demeure le fléau qui menace les agrumes dans le monde entier ou l’on cultive les agrumes et notre pays ne fait pas l’exception. Cette maladie n’avait pas constituée un problème pour l’agrumiculture algérienne dans le passé, mais selon des études récentes , le centre du pays a connu une dissémination du virus dans des foyers isolés, aussitôt après des mesures de quarantaine ont été prises et des vergers contaminés ont été assainis par incinération des arbres positifs au virus du CTV, les services concernés à savoir INPV, CNCC, ITAFV et les services agricoles de chaque wilaya ont travaillé en concertation pour bien gérer ce problème. Récemment avec l’introduction du Toxoptera citricida (2005) dans le pourtour méditerranéen les choses en vraiment changé concernant le contrôle, la lutte et le monitorage. Les pays du Bassin méditerranéen ont adopté des protocoles spécifiques pour le contrôle des vergers et des pépinières, l’Algérie est membre dans le réseau (MNCC), des schémas de contrôle et de surveillance ont été élaborés pour faire face à cette maladie, surtout en présence du T.citricida déclaré en 2005 dans la méditerranée. Ce vecteur est très dangereux il peut anéantir toute une culture dans un pays et peut également introduire des souches exotiques très virulentes. Récemment dans le cadre des travaux de recherches Dans l’Ouest du pays, des souches exotiques ont été caractérisées à partir du matériel végétal infecté par le virus de la tristeza. Cette introduction de souches sévères témoigne de la sévérité du problème. Dans cette perspective, notre objectif visait un contrôle sur quelques vergers agrumicoles, pour la détection du CTV par analyse au laboratoire, vu la non réception du Kit CTV pour la DTBIA (direct tissu blot immunoassay), nous étions obligé d’orienter notre recherche sur l’étude de l’état sanitaire de quelques vergers agrumicoles de l’Université et d’autres vergers privés, le principe de cette étude Vise une étude symptomatologique basée sur des observations visuelles avec interprétation des symptômes en fonction des données bibliographiques sur les maladies virales transmissibles par greffage chez les agrumes, entre autres, la tristeza. Conclusion générale 74 Les résultats que nous avons obtenu par visite et étude de l’état sanitaire des vergers prospectés, montrent un symptôme foudroyant affiché sur plusieurs arbres, ce symptôme décrit des desséchement observés sur les branches, parfois la moitié de l’arbre et atteint et parfois un dépérissement complet sur bon nombre de plants et sur des rangées entières. Ces symptômes rappellent le dépérissement rapide des agrumes causé par le virus de la tristeza. Rappelant aussi que les arbres des cinq vergers prospectés et étudiés ne présentaient pas ce problème il y a quelques années de là (3-5 an), certes les plantations sont anciennes mais les arbres se portaient bien , à part certains problèmes liés à la présence de maladies cryptogamiques ou autres Psorose, ainsi que des attaques d’insectes, pucerons, cochenilles , aleurodes, la mineuse etc. Tous les ingrédients sont présents, d’abord le bigaradier porte greffe qui constitue une association très sensible au virus de la tristeza avec tous les cultivars des agrumes, la présence d’une gamme importante de pucerons sur agrumes. Vu l’ampleur des symptômes de desséchement observés sur plusieurs arbres, il serait donc nécessaire de tester la présence du virus de la tristeza, pour soit confirmer notre diagnostic ou infirmer la présence de cette maladie.Item Monitorage du virus CTV dans Quelques vergers d'agrumes de la commune d'El-Hadaiek(Faculté des Sciences, 2024) Mokhbi, Yassine; Zeglil, Manel; Gadouche, Aya; Lakhchine, Raid Mohieddine; Larbi, DjamilaCompte tenu de l’état sanitaire des vergers agrumicoles de l’Université de Skikda et qui représentent de vieilles plantations déjà infectés par bon nombre de pathogènes et ravageurs connus présents sur les agrumes. Notre modeste travail avait pour objectif un seul axe et celui de recherche , et ce, en se basant sur des observations visuelles, de symptômes pouvant être associés à la maladie de la tristeza, puisque cette maladie a été trouvé dans l’Ouest du pays (Chlef) ou des souches exotiques du virus ont été identifiées. Vu également la présence d’une gamme de pucerons impliqués dans la dissémination de ce virus, et l’échange parfois du matériel végétal sans contrôle sont parmi d’autres moyens qui favorisent la dissémination de cette maladie. A travers notre travail, nous avons voulu prendre au hasard certains arbres affichant certains symptômes rappelant les symptômes décrits pour cette maladie, à savoir le dépérissement, le nanisme etc. Et à travers la technique sérologique DTBIA, nous avons voulu rechercher la présence de cette maladie. Malheureusement, nous n’avons pas pu réceptionner le Kit et le travail est resté inachevé. Un avantage de cette méthode de détection est que les membranes peuvent être conservées pour plusieurs mois pour leur développement. Les vergers d’agrumes de notre Université demeurent un terrain idéal pour l’étude phytopathologique des Citrus, cependant les moyens constituent toujours une entrave pour certains objectifs visés.