Browsing by Author "HAZMOUNE, Tahar"
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Item L'agrumiculture (Citrus)au niveau d'El Hadaiek: Contraintes de production et perspectives d'amélioration(Faculté des Sciences, 2022) ZAIDI ,Asma; MEDAIF, Sabrina; HAZMOUNE, TaharL’étude et les diagnostics portés au niveau des vergers d’El Hadaiek, nous ont permis de faire ressortir un certain nombre de contraintes relatives à l’agrumiculture et à la production agrumicole à savoir : Globalement l’agrumiculture vit une situation très difficile généralement par l’instabilité, les rendements n’ont pas progressé depuis l’indépendance. A cette régression de rendements, s’ajoute une diminution de la qualité qui rend les agrumes non compétitifs, contrairement à ceux des autres pays méditerranéens. Le rendement reste faible essentiellement à cause de : La plus part des vergers agrumicoles date de l’ère coloniale dépassant les 80 ans d’âge ceci a pour conséquence le vieillissement des arbres, la décrépitude. Un manque flagrant d’arbre au sein des vergers dépassant parfois les 20% du verger. Les arbres manquant n’ont pas remplacés, le verger non rénové, ceci est du non seulement aux charges relatives à l’arrachage qui sont importantes, mais aussi aux difficultés financières, - La fertilisation est presque inexistante, non maitrisée, les produits phytosanitaires sont chers. Les réseaux d’assainissement et drainage sont défectueux datant de l’époque coloniale, ne sont pas entretenus, la moindre chute importante d’eau entraine une stagnation de l’eau rendant le terrain impraticable. Les puits ne sont pas entretenus, et asséchés. Les travaux d’entretien (désherbage mécanique) ne sont pas effectués. Les vergers sont caractérisés par un faible taux de renouvellement des plantations, car 60% des plantations sont âgées plus de 80 ans. L’arrachage des arbres et le renouvellement des vergers coutent énormément cher et ne sont pas à la portée des agriculteurs. Certains agriculteurs procèdent à l’arrachage et le renouvellement par arbre. Pour parer à cette situation, des mesures doivent être prises et orientées plus particulièrement sur la réalisation d’un programme de reconstitution et de développement du verger agrumicole ainsi que de l'assainissement et de la réhabilitation de la production sur le verger existant. Le rajeunissement du verger est devenu obligatoire, et cette opération consiste en l’arrachage de ces arbres pour les remplacer par de nouveaux vergers productifs pour pallier à la baisse de rendement et mettre à la disposition du consommateur à des prix abordables. Ce potentiel génétique en voie d’érosion attire l’attention et mérite d’être inventorié, mieux étudié régénéré et développé. Conclusion 73 La fertilisation et les traitements phytosanitaires: la dose et les périodes ne sont pas respectées car les produits sont chers. L'apport d'éléments fertilisants est absolument indispensable (n’est pas apportée aux doses recommandées) si l'on veut obtenir des rendements suffisants. La dose et les périodes de la fertilisation ne sont pas respectés car les produits sont chers. C'est surtout dans l'utilisation de la fumure minérale que les défaillances sont les plus notoires. Les vergers souffrent soit d'une absence totale soit le plus souvent d'une mauvaise répartition des engrais azotés. L’amélioration de l’arboriculture doit passer inévitablement par l’amélioration de la production et de la productivité. On peut améliorer la production par l’application rigoureuse et le suivi de l’itinéraire technique convenable de la culture en question tout le long du cycle biologique de développement.Item L'oléiculture (Olea europea L) à Ain-Kechera (Collo): contraintes et perspectives de développement(Faculté des Sciences, 2022) MEZGHICHE, Aissa; ZEGGARI, Noura; HAZMOUNE, TaharL’oléiculture est la première richesse arboricole en Algérie. Mais malheureusement elle est restée globalement une culture traditionnelle de faible rentabilité. Les causes de cette situation sont multiples et se traduisent de manière différente, selon les régions. A partir des visites effectuées au niveau des oliveraies pendant la réalisation de cette étude, nous avons souligné qu’aucune autre activité ne pourrait remplacer l'oléiculture. Cette dernière y joue en effet une fonction sociale fondamentale puisque l'amélioration des conditions de vie de ces populations dépend exclusivement de l'amélioration de la productivité des oliveraies. Dans cette région, l'oléiculture constitue la principale ressource des populations et occupe l'une des premières places. Ce travail à nous permis de recenser les principales contraintes de production de l'oléiculture dans la région d'Ain Kechera. Cependant plusieurs contraintes entravent la production de l’olivier, dont les principales sont : soins culturaux inefficaces, traitements phytosanitaires inexistants, vieillissements des arbres, variétés inadéquates, alternance de la production, la méthode de récolte inadéquate et parcellisation excessive des exploitations qui rend difficile la mécanisation des travaux. La rusticité caractéristique de l'olivier a contribué de manière indirecte à cet état puisqu'elle a permis l'établissement de plantation dans des zones marginales et accidentés. Cette région d'étude ne dispose ni les techniques modernes de production oléicole, ni de suffisamment de personnels qualifiés pour améliorer la productivité et atteindre les meilleurs rendements. C'est la raison pour laquelle le rôle des recherches est fondamental car seuls les résultats de la recherche permettront de trouver des solutions aux problèmes actuels du secteur. Toutefois, ces résultats ne pourront être appliqués que si les autorités responsables des politiques de développement agissent de manière adéquate pour la diffusion auprès des agriculteurs. En fin, il est utile de poursuivre ce travail et d'élargir la région d'étude aux autres zones oléicole pour connaitre vraiment les contraintes qui entravent le secteur oléicole et les aborder afin de faire avancer le secteur et d'atteindre les objectifs souhaités.Item L’oléculture (Olea europea L.) dans La Wilaya de Skikda : Contraintes de Production et perspectives d’amélioration(Faculté des Sciences, 2022) BOUDERBALA, Houda; BOUCHAHMA, Assia; BOUBALLOUTA, Rahma; HAZMOUNE, TaharLa wilaya de Skikda présente une grande diversité sur le plan édaphique, géologique, climatique et végétale. Elle renferme de grandes potentialités de développement dans le domaine arboricole, notamment l’oléiculture, Cette filière enregistre des améliorations qualitatives et quantitatives appréciables notamment, une augmentation de la superficie nationale, le développement de nouvelles zones (différentes wilayas). Néanmoins certaines insuffisances persistent dont, une sous-utilisation de la gamme variétale existante et une production de matériel végétal qui ne répond pas toujours aux critères de qualité. Il est égaiement confrontée à des problèmes techniques, liés à l’application convenable de l’itinéraire technique (entretien phytosanitaire non appliqué, taille des oliviers, désherbage mécanique, protection des arbres …) . Ce secteur mérite d’être pris en charge pour pouvoir atteindre les objectifs tracés. Le verger oléicole de la wilaya de Skikda, Daira de Tamalous, constitué essentiellement des vieilles plantations nécessite plus d’entretien. L’olivier de par sa rusticité et son adaptation au niveau des communes, contribue largement à l'amélioration des revenus des producteurs, permettant ainsi la fixation de la population dans une région de prédilection de l'oléiculture et la lutte efficace contre l'érosion. Pour la production enregistrée en pleine campagne 2020-2021 qui demeure faible avec des rendements irréguliers qui peuvent être attribués à différentes causes telles que, la non maîtrise d’itinéraire technique ainsi que les techniques de récolte sans oublier les conséquences climatiques.